Le tracé de l'épure permet de passer du plan de forme au plan de charpente,
travail de fond, capital et passionnant,
où l'on prend possession des moindres recoins de la coque
et où l'on commence à appréhender physiquement les pièces de la charpente .
C'est de lui que l'on tire les gabarits de varangues,
le profil de l'étrave et l'équerrage de la quille entre autres,
cela permet aussi de valider les échantillonnages .
Sur Alerion seul le tracé longitudinal a été nécessaire
et simplifié grâce à un calque à échelle 1 du transversal, avec la déduction de bordé .
Merci l'informatique !