tandis que le peintre et le mousse font l'école buissonnière,
le Téméraire soigne ses petits riens,
les petits détails qui font que le regard s'attarde,
la main à l'affût des éventuelles bosses dans les courbes qui se croisent ,
cherchant l'harmonie et la finesse voulue par Etienne Riguidel en 1954,
instant magique ou tout est poncé juste avant peinture ...