selon le vieil adage
une belle carène est une bonne carène,
c'est pas tout de flotter,
encore faut-il bien glisser,
donc courage
je rabote,
je ponce,
...
le plus fascinant dans le ponçage c'est que c'est un exercice sans fin,
une sorte d'expérience mystique,
on court après une perfection qui va plus vite que le ponceur
un peu comme suivre une ligne d'horizon dans un paysage,
ou comparaison plus facile la caresse d'un corps ...
heureusement pour éviter de se noyer,
il y a la poussière (ça se règle avec l'aspirateur),
le bruit des machines ( il y a les bouchons d'oreille),
le poids de la ponceuse à bout de bras ( il n'y a pas de solution),
et le pire les fils électriques !
qu'est ce que c'est bon quand ça s'arrête...